Tout d'abord, bonjour, bonsoir à tous.
Quel plaisir d'écrire de nouveau, ça fait un paquet de temps que ça ne m'était pas arrivé.
Attends, il est quelle heure là ?
![Candidature du (C)Poussin [Refusée] Ours12](https://i.servimg.com/u/f86/18/70/07/92/ours12.png)
Je regarde ma montre mais suis-je bête j'écris cette candidature depuis mon bain.
Pour commencer ma présentation, autant commencer avec mon premier personnage, à savoir mon Osamodas que j'ai commencé en 2006.
J'ai longuement joué avec ce petit personnage étant donné que je l'ai arrêté en 2013 si mes souvenirs sont bons. Je ne sais pas réellement pourquoi, mais je m'en suis lassé. Je pense qu'après tant d'années je m'attendais à du renouveau qui, n'arrivait pas.
Après une période de réflexion, j'ai décidé de reprendre un compte qui traînait et dont je me servais de temps en temps, à savoir mon Sadida.
Fidèle Sadida, amis des poils bonsoir j'ai passé du très bon temps avec. Enquiquiner les autres c'est un réel bonheur, vous comprendrez donc mon plaisir en jouant un Sadida.
Ainsi fila le temps jusqu’à ces derniers mois, date de la refonte Sadida. Après cette mise à jour je me suis assez vite lassé de la classe et j'ai décidé de rebasculer sur mon seul et unique personnage, mon Osamodas.
Maintenant et à l'heure actuelle je suis satisfait, bien que je sois curieux vis à vis d'une certaine oserais-je le dire prochaine mise à jour du Gameplay osamodas.
J'ai réellement débuté sur le Serveur Goultard et j'ai eu la chance de côtoyer et devenir ami avec certaines personnes. C'est d'ailleurs je pense le but premier de ce jeu. Ces personnes sont devenues des amis IRL et nous avons fait un bout de route ensemble. Mais comme toutes les meilleures choses ont une fin, pour des raisons X ou Y elles ont du arrêter le jeu et me retrouvant bien seul, j'ai pris la décision de migrer mon personnage. Je jouais pour les rencontres et je souhaitais donc en faire des nouvelles.
Malheureusement pour moi, j'ai dû remettre à plus tard ma vie sociale Dofusienne. En effet ma vie Irl ne me laissait pas beaucoup de temps pour jouer.
J'ai donc fait une pause afin de me concentrer sur ma vie Irl.
C'est après plusieurs mois de pause je viens de reprendre le jeu assez activement, et j'ai donc décidé de me reconnecter avec la communauté, c'est pour moi la manière de jouer qui m'amuse le plus. Je dis activement mais il faut comprendre par là, période de restuff et tout et tout.
J'ai fait mes recherches, j'ai discuté avec certains membres. J'ai toujours eu à faire à de gens agréables. C'est finalement ce que je recherche. Après j'ai évidemment d'autres facteurs qui rentrent en ligne de compte mais l'important c'est le feeling !
Ah oui ! je n'ai toujours pas expliqué clairement ce que je recherche, c'était plutôt dit implicitement. C'est tout bêtement une famille ou du moins des amis. Des personnes ayant une vision du jeu qui correspond à la mienne à savoir que Dofus est avant tout un jeu ou il fait bon de jouer entre amis. Des personnes avec qui passer du bon temps.
Si jamais je suis accepté, je vais venir comme je suis et je n'attends rien de plus que ce que je peux moi même apporter.
Voilà le topo.
Je joue un Osamodas de niveau 200, que j'ai monté au niveau ultime début 2010 je crois bien, entre temps j'ai dû faire des pauses comme précisé ci-dessus en raison de mes études !
J'ai très longtemps pratiqué le pvp avec mon Osamodas mais je le voyais de façon particulière, indissociable de la mentalité. Quand la mentalité évolue le pvp évolue. Depuis ma reprise active du jeu, je n'ai pas encore eu l'occasion d'en refaire. Si je dois répondre à l'AvA je dirais hors de question. Je ne supporte pas ce système déséquilibré pour les nouveaux joueurs et quant à l'alliance je ne m'y fais pas, j'ai l'impression d'être en relation avec trop de personnes d'un coup.
J'adore l'idée de faire un peu de Kolizéum avec des amis encore que je n'ai pas eu beaucoup l'occasion d'en faire dernièrement Hahaha....................................
Sinon à contrario je déteste les quêtes malgré le fait que j'adore les succès et monter mes métiers ! Cette transition est fabuleuse.
![Candidature du (C)Poussin [Refusée] Mytier11](https://i.servimg.com/u/f86/18/70/07/92/mytier11.jpg)
Je pense avoir assez bien résumé mon aventure Dofusienne, je garde pour moi quelques petites anecdotes mais dans l'ensemble tout est dit. Il est très, très probable que j'ai oublié de vous raconter certaines choses, si vous avez des questions, n'hésitez pas je me ferai un plaisir de vous répondre !
Sinon l'homme derrière Coussine !
J'ai grandi en France et en Espagne. Après un Bac classique je me suis dirigé vers des études d'animation, études qui j'espère devraient se terminer sous peu.
Aujourd'hui je suis un étudiant comblé ! J'ai la chance d'étudier dans un domaine qui me fascine, ou je passe la majorité de mon temps à dessiner. C'est donc que du bonheur. J'habite à Paris pour mes études, dans un appartement avec mes crevettes.
Sinon je suis un très grand lecteur, j'ai tout le temps la dalle et j'adore peindre.
Avec mes études je n'ai pas des horaires de jeu fixes, mais je me connecte relativement souvent, ne serait-ce que pour parler !
Je suis toujours assez avare concernant les informations personnelles cependant je répondrais volontiers à des questions si vous en avez. Notez que dans les phrases ci-dessus j'ai réussi à placer un jeu de mots.
Je pense avoir fait le tour de la chose, sinon je précise aussi que j'ai Skype, Teamspeak est possiblement envisageable.
Merci de m'avoir lu, j'espère que ça n'aura pas été trop chiant. Si c'est le cas fallait s'arrêter avant.
29 Aperirel 624
Un cri de douleur se répercuta sur les remparts de Bonta. Dans une petite chaumière près de la ville des anges, la maisonnée était en pleine effervescence : ma mère, une frêle et douce eniripsa se tordait de douleur sur la table de la cuisine. Mon père, un adepte de la déesse des bienfaits lui aussi, s’affairait à côté d’elle, tentant de soulager ses douleurs… en vain. Cela ne se passait pas comme prévu… Elle n’aurait pas dû avoir aussi mal, sa magie était inefficace. A ce rythme-là elle sera morte avant d’avoir eu le temps d’accoucher, ça ne sentait pas bon du tout… Le pauvre homme commença alors une longue prière auprès de toutes les divinités du panthéon :
- S’il vous plaît ceux d’en haut! Venez-nous en aide! Ma femme est sur le point de mettre au monde mon enfant et je ne peux rien faire pour l’aider! QUELQU’UN ! …S’IL VOUS PLAÎT !
Une belle femme aux longs cheveux ébouriffés, recouverte de sang, se matérialisa alors devant le couple.
- Je suis Osamodesse et j’ai ressenti votre souffrance. Je peux vous venir en aide mais à une seule condition… Que votre enfant renie ses origines et me voue un culte. C’est le seul moyen…
- Tout ce que vous voudrez! supplia mon père pleurnichant au chevet de son épouse, pâle comme la mort.
La déesse esquissa un petit sourire, et la salle se retrouva baignée d’une nébuleuse lumière rouge sang. Un horrible cri, le dernier, Traversa l’air.Puis des cris, MES cris. La déesse avait réussi! Mon père se prosterna devant la céleste créature et pleura toutes les larmes de son corps.
-Merci! Mille mercis! Vous avez sauvé les deux personnes qui comptent le plus au monde pour moi ! Je vous suis reconnaissant pour l’éternité! Comment pourrais-je vous remercier?
- Vous l’avez déjà fait dit-elle, disparaissant mystérieusement.
Mon père continua de pleurer de joie pendant quelques secondes puis se ressaisit et me donna les premiers soins. J’étais maculé de sang, mais je respirais. Mon père se tourna alors vers ma mère. Elle dormait, le visage paisible, ses cheveux collant son beau visage.
Soulagé, il entreprit alors de me débarbouiller… Effrayé, il recula d’un pas et bredouilla :
- Mais…il..il…a une queue, c’est un Osamodas?! Oh non… Qu’est-ce que j’ai fait??
Mon père était un homme dont la conduite était dictée par le jugement des autres, et il ne voulait pas déshonorer sa famille.
- On ne peut pas le garder… Un Osamodas chez nous, hors de question! s’exclama-t-il, oubliant que sa femme devait la vie à leur déesse… C’est la classe qui nous ressemble le moins…avec les srams…et puis les enutrofs aussi…et aussi les sadidas… En fait, aucune classe ne se ressemble… Mais bon, avoir un Osamodas chez nous, notre fils qui plus est, ça ferait jaser les voisins… Je l’entends déjà d’ici la vieille toupie de Madame Grumot! : ‘Beuah!!! Un Osa’ ici?? Pas de ça chez nous ! Pas question de le laisser nous approcher. Ces racailles-là, plus qu’ils sont éloignés de moi et bah…plus que c’est mieux! De mon temps il aurait été inconcevable de laisser un de ces garnements rôder près de la sainte ville…’ Il vaut mieux l’envoyer loin de nous. Je ne veux pas perdre mon travail à la pharmacie à cause de ça!
Il partit fouiller dans son bureau quelque temps et revint peu après, une carte du monde des 12 à la main.
- Hum… Quel est l’endroit le plus éloigné de nous? se demanda-t-il. Après un court moment de réflexion, il pointa triomphalement de son doigt fin une île située à l’est de la carte.
- Pandala bien sûr! Par contre…bonjour les frais de transport… Quoique! Vu qu’il est léger comme un Bouftou désossé je pourrais l’envoyer là-bas par Tofu-relais. Mais il ne faudra pas en souffler mot à ma petite femme, si elle savait ce que je m’apprête à faire, c’est la crise cardiaque assurée et eniripsa ou pas, un mot de reconstitution ne suffira pas à la sauver !
Se sentant satisfait de son choix et n’ayant aucun remords, il repartit veiller sur sa femme oubliant que son fils gisait toujours sur le parquet en bambou édition limitée spéciale Feudala qu’il avait acheté des années plus tôt, à un prix très raisonnable, chez un marchand ambulant que je ne recommande pas, d’ailleurs, pour de multiples raisons… Mais je m’écarte du sujet, excusez-moi.
Donc, maintenant, vous savez tout des circonstances de ma naissance… Petits veinards! Vous ne me connaissez pas encore et, vous savez déjà qui sont mes parents et tout et tout… Moi, je l’ai su bien plus tard grâce à un incroyable concours de circonstances du à une prophétie qui incluait un enutrof unijambiste des forêts de bonta, une mystérieuse tranche de jambon et 12 statuettes divines.
Bref. Passons maintenant à mon enfance. Bon, j’avoue je m’en souviens pas beaucoup à part que tout petit, je me saoulais déjà à la liqueur de Bambou doré (parce que je le vaux bien), je tirais la queue aux Kitsous et foutais le feu aux Bulbuissons. Quoi, c’est pas bien? Ils avaient qu’à pas être là d’abord! Et puis ils m’avaient tiré la langue…
Enfin ça, c’était avant le drame… Un jour mon maître, Pandiwan Kenobi, vint s’asseoir à côté de moi, son regard empli de sagesse rivé vers le mien et, me tint ce discours :
- Coussi. (C’est moi hein? Je précise parce que je l’ai pas encore dit alors…) J’ai envie de… *beuargh*……. Et ouais… les maîtres pandaï sont plus ce qu’ils étaient… en plus son sabre était même pas laser… M’enfin bref, donc après qu’il ait aspergé mes mocassins en peau de Cooleuvre tout neufs il continua son fantastique récit épique :
- Coussi. Ce soir tu seras officiellement un homme. (enfin… un Osamosdas) Tu seras libre de quitter cette île et de partir à l’aventure dans les terre d’Amakna et ses alentours. Sache que j’ai été très fier d’être ton maître. Tu as été mon meilleur Osawan… le seul aussi mais bon.
Que la chance t’accompagne. Que la paix règne dans ton cœur. Et que les étoiles veillent sur toi.
S’ensuivit une poignée de mains virile (de pattes dans son cas), une bonne claque dans le dos et il m’offrit un des plus beaux pots de chambres que j’aie jamais vu : un Su-per-be Solomonk over jet de la mort qui tue. Puis, je fis mes adieux au pays des Bisous… à Pandala .. après plusieurs tournées générales du patron de la taverne du pandawa ivre bien sûr.
Je partis ensuite, un baluchon sur l’épaule fredonnant un air de Francisque Kabroule.
Je parcourus Amakna en long, en large et en travers, m’arrêtant régulièrement aux tavernes pour étancher ma soif. Par contre, j’évitais toujours Bonta. Je ne savais pas pourquoi, c’était viscéral. Les gros donjons aussi, j’aimais pas trop avec tous ces gens qui criaient autour… Par contre, j’adorais passer du temps dans les bois de Litneg. D’ailleurs, c’est ici que j’ai déniché mon marteau Mawoque. Comme l’ancien proprio s’était fait dévoré par l’un d’eux, parce qu’il dansait la tektounik aussi bien qu’un iop est balaise en orthographe, j’ai préféré ne pas engager de slow avec les Trools, ils sont si impulsifs parfois… des fois ils nettoient leur massue et le coup part tout seul et, dans ce cas-là, je ne donne pas cher de votre peau.
Arrêtons là ce doux moment de nostalgie tout de suite pour…revenir en arrière. En effet, j’ai oublié de vous raconter l’histoire que les pandawas m’ont raconté au sujet de ma naissance.
(Excusez-moi pour cette petite panne de mémoire, l’alcool a des effets néfastes chroniques sur moi. Encore à cause de Pandala et ses fêtes de la bière qui ont lieux tous les…deux jours.) Donc retour dans le passé : "J’arrive sur l’île, patati patata, je me souviens plus trop de mon enfance, bla bla bla...
Les pandawas m’avaient d’ailleurs raconté une histoire un peu tirée par les poils pour expliquer ma naissance et ma différence" :
‘Alors euh… tu es né grâce à l’union du Bulbig et du maître Pandore qui ont effectué un rituel païen d’invocation dans un pentacle tracé avec de la poudre de riz à 7h06 du matin tandis que les Bambous jouaient à saute-Bouftou tout en chantant du Francisque Kabroule (encore lui !). Ensuite, ils ont craché dans le pentacle 6 fois chacun , ont ajouté des excréments de Péki et voilà, tu es apparu!’
Hum hum… Ouais bon, j’y ai cru et alors?…
Bon, après j’ai fait quelques croisières sur les îles avoisinantes, genre île des Wabbits…
Le gentil organisateur m’avait dit : ‘Repas et boissons comprises! Offre en or!!! L’hôtel est seulement à 666 kamas par nuit! Pour plus d’infos allez vite sur www.croisierewabbit.tk!
Bon, je dois avouer que passer une semaine à dormir dans un terrier en broutant des cawottes c’est pas super super… D’ailleurs, à la fin du voyage, je me sentais un peu bizawwe, comme si j’étais devenu une autwe pewsonne je sais pas si vous voyez…
Dès que je suis rentré de ce voyage je me suis pris des vacances à l’île de Moon pour souffler un peu…
Bronzette, sable fin, noix de kokoko à volonté tout ça…
C’est à ce moment précis de l’histoire que je me suis mis à penser que j’étais peut-être un peu seul…
Solitude… *un Corbac passa au dessus de moi en croassant : ‘Baka! Baka!’
Donc, de retour sur le vieux continent, je me mis à chercher activement une guilde avec de vrais gens dedans. En marchant au dessus d’Astrub, près du campement des bandits, je fis une rencontre qui bouleversa toute ma vie *tousse tousse*. Pardonnez moi c’est le chaud et froid ça.
Donc je disais… je me promenais dans la forêt, tout était normal : les crâs farmaient, les paysans fauchaient et les iops se tabassaient… Mais subtilement le vent tourna, une très légère odeur arriva à mon nez, je sentis comme… une aura meurtrière très proche… Nullement impressionné, je gardai mon sang-froid j’armai mon marteau et pris une position de combat.
Pour tout vous dire, j’avais un peu les pétoches, l’ambiance c’était un peu le prélude à l’ouverture des portes de l’enfer quoi… De longues minutes s’écoulèrent, mes bras commençaient à s’ankyloser … Quand je me retrouvai subitement avec une dague glacée appuyée sur ma gorge.
- Maljour. Et au revoir. ‘Il’ m’enfonça sa dague dans la gorge d’un geste rapide et précis.
Désolé je suis pas mort : j’avais mon amulette du Tofu pour me protéger.
Mais bon, elle a quand même fini sa course enfoncée dans le pauvre petit Tofu.
- Par Sram! Il en redemande le bougre! S’écria celui dont on ne doit pas pronnoncer le nom.
- J’voulais te tuer mais tu m'as l'air si misérable
Alors je précise, la position foetale est une véritable technique. Inspirer de la pitié c'est inspirer un sentiment comme un autre.
- Laisse le, regarde il s'est pissé dessus. Dit alors un vieil enutrof qui alla se placer à droite de Monsieur Himura.
- Leura… Ce que tu peux être ..
- Hey crâne d’oeuf! On parle mieux aux vétérans!
- Tu as déjà un pied dans la tombe, je peux y mettre le second. *Dégainant ses dagues*
Oui clairement j'en ai profité pour m'échapper, est-ce que c'est de la fuite, j'en sais rien et après tout..
Toujours est-il que je suis encore en vie et que ma queue est tout entière.
Sur le chemin du retour (retour vers quoi on ne sait pas mais j' y allais bon train), j'ai traversé des blizzards hurlants, des désert cuisants, un petit village peuplé de jeunes Bworks et une invasion de wabbits cwétins. Après quoi, je n'ai plus aucun souvenir, mais vraiment plus rien. C'moche l'alcool quand même.
Ah j’vous ai pas dit, oulala c'est qu'il y en a des choses à raconter.
Mais dans mon périple j’me suis mis Brakmarien (J’suis en train de perdre mon public là…déjà qu’il y en a pas beaucoup qui ont tenu jusque là…) sous l’impulsion de mon conseiller financier entre autres. Aussi parce que c’était plus facile à l’époque pour exploser du Zoth…
J'avais toujours eu un sentiment de dégoût et il était temps de l'affirmer au reste du monde.
Décidé à frapper un grand coup contre la cité des anges, je me mis à préparer un plan machiavélique…
- HA HA HA HIPPA-HIPPA HO! Ti hi tort tort tort! Hot tcha ha ha! Sniggle hi! Ha! ( C’était un rire démoniaque pour ceux qui auraient pas compris. ) En effet, une idée avait germé dans mon esprit, venue tout droit de Rushu. Dès le lendemain, je mis mon plan à exécution…
L’aube n’avait pas encore pointé le bout de son nez, la brume serpentait entre les chaumières, le Tofu Royal n’avait pas encore chanté, un étranger tout de plumes vêtu pénétra dans Bonta… (L’étranger, c’était moi hein? Nan mais je précise au cas ou…) Arrivé à la milice, il enleva prestement sa tenue d’infiltration et se glissa subrepticement dans l’ouverture. Un tohubohu infernal lui parvint alors aux oreilles. Il crut qu’il allait devenir marteau. C’était Amayiro qui ronflait…
Parfait… tout se déroule comme prévu. Il se faufila jusqu’à son lit pour y voler ses chaussures et les cacha dans un endroit improbable où il allait en chier pour les retrouver!…
D’ailleurs, pour la petite anecdote, vous vous êtes déjà demandés pourquoi Amayiro avait une canne?
Tout simplement parce qu’il a très mal au dos à force de se pencher pour chercher ses chaussures…
Brâkmar vaincra!
Bien, bien, bien, continuons notre histoire : Après avoir commis ce méfait de la plus haute cruauté passible de la peine de mort par décapitation, notre étranger (c’est encore moi aussi) se dirigea vers la banque, toujours avec la plus grand discrétion bien entendu pour mettre en place la 2ème partie de son plan… Il se glissa par-dessus le comptoir, déroba les relevés de comptes de ces banquiers corrompus et les remplaça par des faux, remplis d’inepties… hin hin hin, ça allait être la panique à Bonta… Fier de son 2ème crime, il passa à la dernière partie de son plan. Il retourna à la milice récupérer ses vêtements d’espion puis se dirigea vers la sortie principale. Il farfouilla quelques secondes dans une de ses poches et en sortit une bombe de peinture couleur Piou rose. Puis il tagua en grosses lettres bien baveuses sur les remparts :
AUX CHIOTTES BONTA, ALLEZ BRÂKMAR !
Puis il fila, aussi discret qu’un sram, directement vers les landes de Sidimote.
Il traversa les blizzards hurl… ouais nan je l’ai déjà dit ça. Donc après avoir traversé d’une traite Amakna du nord au sud, sans s’arrêter à toutes les tavernes cette fois, il arriva aux landes de Sidimote, se déshabilla promptement et revêtit une cape et une capuche noire histoire de ne pas se faire repérer par les gardes de Brâkmar qui sont beaucoup plus perspicaces que les gardes de Bonta, évidemment.
Bon, je vais reprendre le récit à la première personne là parce que c’est trop compliqué et tout…
Les gardes brâkmariens, me prenant pour l’un des leurs, me laissèrent passer… Ahhhhhhh… j’aime déjà mieux le décor! Ca change des vertes prairies et du beau ciel bleu qu’on pouvait observer à Bonta. J’ai toujours préféré le rouge et le noir, j’ai été servi : champs de laves à perte de vue, bâtisses ténébreuses, traces de sang un peu partout… C’est tout ce que j’aime! Bien décidé à servir cette belle cité je me hâtai vers la milice pour y rencontrer le fameux Oto Mustam afin de m’enrôler dans la célèbre garnison brâkmarienne. Il n’y vit pas d’inconvénients suite à mes dires, mais me fit passer une batterie de tests pour vérifier que j’étais pas complètement idiot. Je les ai passés haut la main, ayant un Q.I de 164 (presque...). Je fis le serment d’être toujours fidèle à Rushu et Djaul, de défendre la cité démoniaque jusqu’à la mort et de trucider la veuve, l’orphelin, le pauvre et l’opprimé que les serviteurs du bien essayent de défendre.
AHH OUI ! Voilà c'est là que nous en étions, donc :
Pour fêter la nouvelle orientation que prenait ma vie, je décidais de me plonger dans l'acool pour m'oublier.
![Candidature du (C)Poussin [Refusée] Stuff13](https://i.servimg.com/u/f86/18/70/07/92/stuff13.jpg)
![Candidature du (C)Poussin [Refusée] Stats12](https://i.servimg.com/u/f86/18/70/07/92/stats12.png)
![Candidature du (C)Poussin [Refusée] Stuff14](https://i.servimg.com/u/f86/18/70/07/92/stuff14.jpg)